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16 avril 2014 3 16 /04 /avril /2014 08:26

J'ai été interrogé par France 3 Ile de France sur la nomination de Jean-Christophe Cambadélis premier secrétaire du Parti socialiste le 15 avril 2014. Retrouvez mon propos à partir de 55 secondes.

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15 avril 2014 2 15 /04 /avril /2014 07:21

Invité à Politique matin lundi 14 avril pour le débat, j'ai eu l'occasion de revenir sur les mesures annoncées par le Premier ministre lors de son discours de politique générale à l'Assemblée, notamment sur les priorités économiques du gouvernement, la réforme des rythmes éducatifs et les dépenses publiques. Débat avec Philippe Juvin, député UMP européen à partir de 17 minutes.

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10 avril 2014 4 10 /04 /avril /2014 21:55

Invité sur BFM Soir mercredi 9 avril dernier pour un retour sur la nomination des quatorze secrétaires d'État de l'Élysée qui complètent le gouvernement de Manuel Valls, avec Geoffroy Didier, secrétaire général adjoint de l'UMP.

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7 avril 2014 1 07 /04 /avril /2014 09:35
La politique monétaire, grande oubliée des débats français

Atlantico publie ce lundi 7 avril une interview croisée à laquelle j'ai participée, avec Nicolas Goetzmann, journaliste économique et Matthieu Mucherie, éconimiste de marché sur le sujet de la politique monétaire, grande oubliée des débats francais. L'occasion de donner quelques arguments à Manuel Valls qu'il pourrait utilement lire avant de mettre la touche finale à son discours de politique générale.

Le Premier ministre tiendra son discours de politique générale mardi. L'occasion peut-être d'aborder la politique monétaire... Véritable levier de croissance apprécié par le pragmatisme anglo-saxon, la "manipulation" de la monnaie reste taboue en France.

Atlantico : Manuel Valls doit tenir son discours de politique générale mardi. Parmi les thèmes laissés de côté par les gouvernants de tous bords, on compte la politique monétaire. Avant tout, qu'est-ce qu'une politique monétaire, comment fonctionne-t-elle et quelle est, in fine, son utilité ?

Nicolas Goetzmann : Une politique économique repose sur deux jambes ; une jambe budgétaire et une jambe monétaire. Ces deux jambes sont liées et interdépendantes, mais ont des fonctions différentes. Pour schématiser, on peut considérer que le monétaire est en charge de la conjoncture économique et le budgétaire de la structure.

D’un côté la politique monétaire a le contrôle de ce que l’on appelle la « demande », c’est-à-dire de la somme de la croissance et de l’inflation. Ainsi, une banque centrale qui a la charge de la politique monétaire a la possibilité d’impulser la demande qu’elle souhaite dans l’économie, en agissant par la voie de l’offre de monnaie. De l’autre côté le pouvoir budgétaire va agir sur la structure de l’économie, ce qui aura pour effet de transformer la « demande » soit en croissance soit en inflation.

Pour prendre un exemple, si la banque centrale décide d’augmenter l’offre de monnaie, cela va agir sur la demande. Si la politique budgétaire n’est pas efficiente, ce surplus de demande va surtout produire de l’inflation et peu de croissance, ou même, comme cela a été le cas dans les années 1970, de l’inflation uniquement et pas de croissance du tout. C’est notamment le cas lorsque la banque centrale décide d’aller toujours plus loin alors que le plein emploi est atteint, l’économie marche en surrégime et l’inflation progresse rapidement.

C’est la situation inverse qui s’applique actuellement, avec une très faible demande et un chômage très élevé, ce qui montre que nous sommes très loin de tout risque inflationniste et qu’il existe une très large marge de manœuvre pour une banque centrale pour impulser de la « demande ». Il est tout à fait curieux de considérer que la France serait vouée à la stagnation, car si une banque centrale appliquait la demande « supportable » pour le pays, la France serait en capacité de supporter des taux de croissance de 3%, et qui ne provoqueraient pas d’inflation supérieure à 2%. 

Christophe Caresche : La politique monétaire est dominée depuis des années par une doctrine monétariste qui prône l'abandon des politiques monétaires jugées inutiles et contre-productives pour la croissance économique. Selon cette conception le seul rôle de la banque centrale est de maîtriser l'inflation par une politique de taux d'intérêt. La politique monétaire doit donc être "neutre", cette neutralité étant garantie par une banque centrale mise à l'abri de toute interférence politique. Cette conception a prévalu lors de la création de l'euro et de la BCE pour des raisons idéologiques mais aussi politiques. L'Allemagne n'a accepté de renoncer au mark qu'en échange d'une réelle indépendance de la banque centrale européenne dotée d'un mandat très restrictif. Le souvenir de l'hyper-inflation d'avant-guerre mais aussi le fait que la population allemande vieillissante est très attentive à ce que l'inflation ne détruise pas son épargne expliquent cette position.

Mathieu Mucherie : Conduire une politique monétaire, c’est piloter la chose la plus importante et la plus potentiellement dangereuse dans une économie, la monnaie. Avant de parler des instruments (taux d’intérêt, taux de changes…), il faut savoir deux choses :

a/ Quels sont les objectifs ;

b/ Qui crée de la monnaie de nos jours.

Ces deux points sont systématiquement écartés des débats, d’où leur caractère nébuleux. Les objectifs, c’est la stabilité des prix (entendue comme une inflation faible mais non nulle, compatible avec les réalités de l’illusion nominale et avec les dangers de la déflation) et, sous réserve que cette stabilité soit assurée, une action contra-cyclique en faveur de la croissance (c’est la lettre même du Traité européen). Ne pas remplir ces objectifs plusieurs années de suite est une faute lourde pour un banquier central, fut-il indépendant et fut-il dans une situation compliquée en zone euro : car cela équivaut à se moquer du mandat, donc c’est se moquer des gens et de leurs représentants. Mais, me direz vous, les banquiers centraux ne sont pas seuls responsables : dans le système actuel, les banques commerciales créent 90% de la monnaie, donc si elles ne distribuent plus les crédits, il est logique que l’inflation soit au point mort et la croissance absente. Ce qui me conduit au 2e point. Oui, les banques détruisent de la monnaie quand elles réduisent leur bilan. Mais raison de plus pour que la banque centrale agisse. C’est ce que la FED et toutes les banques centrales de la planète (à l’exception de la BCE) ont fait, à travers des achats massifs d’actifs et divers techniques bien documentées. Mais ce que la Suisse ou la Chine ou la Suède ou l’Angleterre peuvent faire pour stabiliser leur activité et ne pas trop tomber en déflation, il n’en est pas question dans une zone euro dominée par l’Allemagne.

Lire la suite de l'interview

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2 avril 2014 3 02 /04 /avril /2014 08:43

Tribune parue dans Libération - édition du 2 avril 2014

Au-delà de son contenu, le «pacte de responsabilité» intéresse par sa méthode. Il s’agit de mettre en «responsabilité» des acteurs, de les mobiliser à travers une démarche de concertation et de «donnant-donnant». L’Etat fixe un cadre dans lequel chacun est invité à coopérer et à prendre des engagements. Cette méthode pourrait être utilement dupliquée dans un certain nombre de domaines et en particulier dans celui du logement.

La France connaît une grave crise du logement et, plus précisément, de la construction de logements dont elle n’arrive pas à sortir, malgré les moyens considérables qu’elle y consacre. On peine à comprendre pourquoi un pays qui dispose de toutes les ressources et des savoir-faire nécessaires se retrouve dans une situation de déficit chronique en matière de construction. La réponse est probablement à rechercher dans la multiplicité des intervenants et dans le manque de pilotage de la politique du logement qui en résulte, au niveau national comme au niveau local. L’Etat finance, mais ne sait pas toujours quoi et où. Les maires autorisent, mais à leur rythme et selon leur bon vouloir. Les opérateurs construisent, mais pas toujours en fonction des besoins et au bon endroit. C’est un système totalement «déresponsabilisant» qui s’est peu à peu mis en place. Chacun s’est installé dans une sorte d’économie de la pénurie à la recherche de son intérêt immédiat.

S’il est un domaine dans lequel l’appel à la responsabilité aurait du sens, c’est bien celui du logement. Les expériences d’organisation territoriale dans lesquelles les communes sont amenées à coopérer et les opérateurs à se structurer montrent qu’il est possible de sortir de cette spirale négative. C’est le cas à Rennes où, depuis de nombreuses années, est conduite une politique du logement qui permet de satisfaire tous les besoins de l’agglomération. Une impulsion similaire devrait être donnée au niveau national en lançant un pacte de responsabilité pour le logement. L’Etat en a les moyens en conditionnant ses aides, au logement comme aux collectivités, et en assujettissant son pouvoir réglementaire à des engagements précis.

Aux élus des zones tendues, il pourrait être demandé de construire plus et de modérer le coût des terrains en échange des dotations de l’Etat. Aux opérateurs sociaux, il pourrait être demandé de se regrouper et de fusionner afin d’accroître leurs capacités en échange du soutien qu’apporte l’Etat au logement social. Aux constructeurs, il pourrait être demandé de répercuter la baisse des coûts de construction, liée à la simplification réglementaire, tandis que les investisseurs pourraient être incités à se réorienter vers le logement.

Et pourquoi ne pas aller jusqu’à fixer des objectifs précis de construction de logements selon les territoires, dont tous les acteurs seraient redevables ? La crise du logement a atteint une telle intensité que beaucoup sont disponibles pour une telle démarche.

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1 avril 2014 2 01 /04 /avril /2014 08:05
Extrait de l'édition spéciale du journal de LCI du lundi 31 mars où j'étais invité pour commenter l'allocution du Président de la République et la nomination de Manuel Valls Premier Ministre.

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31 mars 2014 1 31 /03 /mars /2014 13:14

afpPARIS, 31 mars 2014 (AFP) - Cinq parlementaires du pôle des réformistes du PS ont prôné lundi un "pacte de modération fiscale" en réponse au revers des élections municipales, et mis en garde contre une "fuite en avant budgétaire".

Pour les députés Christophe Caresche, Jean-Marie Le Guen, Gilles Savary et Marc Goua, ainsi que le sénateur Jean-Pierre Caffet, ces élections marquent "la fin d'un cycle politique pour le Parti socialiste". 

"La gauche a connu hier un revers historique et global", car "à la dimension nationale s'est ajoutée incontestablement et trop fréquemment une dimension locale", ont-ils écrit dans un communiqué.

Selon ces élus, "beaucoup des électeurs qui nous ont fait défaut ont exprimé leur aspiration à plus de justice, plus d'emploi, mais ils ont également manifesté un rejet de l'augmentation de la pression fiscale". D'où l'idée d'enfin passer avec les Français au pacte de modération fiscale".

"Plus que jamais, il nous faut avancer sur le terrain des réformes, nous concentrer sur les questions essentielles, faire vivre enfin le pacte de responsabilité et peser, par notre crédibilité, sur les choix européens", plaident-ils alors que le vote de confiance sur le pacte est programmé jusqu'à nouvel ordre avant fin avril.

Tandis qu'une partie de la majorité milite pour un changement de cap économique et social,"il serait suicidaire pour la gauche et pour le pays de s'engager dans une fuite en avant budgétaire qui nous mènerait à l'impasse économique et politique", mettent en garde ces cinq parlementaires.

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 14:18
Invité à LCI Soir mardi 11 mars 2014 pour revenir sur la "contradiction" entre le premier ministre et la garde des Sceaux au sujet des écoutes, j'ai indiqué qu'il y avait sans doute eu une confusion sur la question posée à Christiane Taubira. Si elle savait qu'une information judiciare avait été ouverte, elle ne connaissait pas "le contenu précis des écoutes" et c'est à cette question qu'elle a répondu.

 

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21 février 2014 5 21 /02 /février /2014 10:37

Dans un texte intitulé Pacte de responsabilité : le pari audacieux de François Hollande, 10 parlementaires (dont Christophe Caresche), ont exposé leur vision du "pacte de responsabilité" annoncé par François Hollande le 14 janvier dernier lors de sa conférence de presse.

Si l'on caractérise un homme d'Etat par sa capacité à s’élever au dessus des préjugés et des tabous idéologiques de son camp pour faire prévaloir une vision de l'intérêt supérieur du pays, alors François Hollande en portait incontestablement le costume lors de sa conférence de presse du 14 janvier.

Car, nous sommes un étonnant pays où les postures politiques comptent parfois plus que le principe de réalité. Or, en donnant la priorité à une politique économique dite "de l'offre", F. Hollande transgresse la frontière entre les prétendus "libéraux de Droite" et "keynésiens de Gauche".
Pourtant F. Mitterrand avait opéré ce virage bien avant lui, mais sans l'exprimer ; ni que le Parti Socialiste en tire tous les enseignements. Confronté en 1981 à une situation comparable d'affaissement productif, il avait engagé une relance keynésienne. Il en résulta un creusement vertigineux des déficits extérieurs, budgétaires et sociaux qui révéla que les politiques de soutien à la demande n’ont plus la même efficacité en économie ouverte. Ce sont les PIB étrangers qui profitèrent du regain de consommation français faute de disposer d'une industrie nationale capable d'y répondre.

D'où le revirement de 1983 où F. Mitterrand opta pour la "désinflation compétitive", le sevrage des drogues douces des dévaluations et de l'inflation, et contraignit l'industrie française à adapter sa compétitivité à un franc fort. Il en découla dix ans d'excédents commerciaux ininterrompus. Mais faute d'avoir assumé ce bilan économique positif mais idéologiquement dérangeant, la Gauche s'en trouve encore affectée d'allergies tenaces.

Et, alors que la France avait rejoint l’Allemagne à l’orée du siècle, ces efforts furent annihilés par la politique menée par la droite dans les dix années qui suivirent. C'est donc d’un pays économiquement sinistré qu’hérite François Hollande, dans un environnement infiniment plus exigeant et brutal encore que celui de 1981.

Dans ce contexte, une puissance moyenne comme la France, comblée d'atouts mais aussi percluse de conservatismes, n'a d'autre alternative que de s'adapter par la réforme ou de sombrer dans le déclin. Les Français l'ont compris, malgré le vieux et inavouable corporatisme de nos corps intermédiaires !

C'est donc le premier défi de F. Hollande que de tenter un tardif "Bad Godesberg " social-démocrate français à un moment ou les Français se reconnaissent de moins en moins dans leurs représentants. Et, pour lucide et courageux qu'il soit, le Pacte de Responsabilité de F. Hollande n'est pas sans risques dans l'exécution.

Nos patrons comme nos syndicats ne partagent ni la culture industrielle, ni le sens du compromis allemands... En outre, ces organisations sont si peu représentatives que l'esquisse de démocratie sociale que F. Hollande tente d'insuffler, lévite très largement au-dessus du pays. D'où les difficultés récurrentes en France à traduire dans les faits les décisions les plus consensuelles, comme l'a montré la jacquerie bretonne contre l'écotaxe !

Les obstacles devront également être surmontés dans la recherche des 50 milliards d’économies sur la dépense publique. Des marges de manœuvre existent encore dans la rationalisation du fonctionnement de l’Etat, mais beaucoup a déjà été fait et c’est pour l’essentiel ailleurs qu’il faudra débusquer le superflu : dans les superpositions de compétences de nos différents niveaux de Collectivités locales ; dans un certain nombre de politiques publiques dont les résultats ne sont pas à la hauteur de leurs financements ; dans les abus et les dérives de nos dépenses sociales. Mais, pour ce faire, l'Etat doit savoir ce qu'il veut et fixer le cap.

Enfin, si F. Hollande a le mérite d'affronter le problème du coût du travail, on peut douter qu’il obtienne en contrepartie des engagements fermes d’embauche dans un contexte économique très incertain. Il y a pourtant des engagements à négocier avec le patronat en matière de formation, de délais de paiement et de relations inter-entreprises, de recherche et développement, d'appui des grands groupes à leurs sous-traitants. Pour l'emploi, il faudra que F. Hollande s'attaque à un ultime et redoutable tabou national : celui des rigidités d'un code du travail qui, de protecteur du salarié, est devenu un puissant répulsif de l'emploi. Pour cela, il devra affronter le redoutable consensus d'exclusion dont s'accommode notre pays au prix de coûteuses dépenses sociales, avec pour solde la désespérance des jeunes et des chômeurs. Et pourtant si les valeurs socialistes ont un sens, c'est bien de mettre un terme à cette forme sournoise d'apartheid social.

Le Président voit juste. La reconquête de l'emploi productif est la clé du redressement du pays, de la résorption de nos déficits extérieurs, comme intérieurs... Il est la principale condition du maintien de notre modèle social et de notre niveau de vie. Mais aussi le plus sûr rempart contre ceux qui font commerce politique du déni, de la peur et de la désespérance.

C'est pourquoi, il faut essayer aujourd'hui toutes les solutions que nos retenues idéologiques, nos conservatismes et nos égoïsmes, ont trop longtemps interdites à la France.

Gilles SAVARY, député de Gironde

Christophe CARESCHE, député de Paris

Jean-Marie LE GUEN, député de Paris

Jean BESSON, sénateur de la Drome

Jean-Pierre CAFFET, sénateur de Paris

Sophie ERRANTE, députée de Loire-Atlantique

Marc GOUA, député de Maine-et-Loire

Pierre-Yves LE BORGN', député des Français de l’étranger

Pascal TERRASSE, député de l’Ardèche

Jean-David CIOT, député des Bouches-du-Rhône

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20 janvier 2014 1 20 /01 /janvier /2014 10:22

J'étais l'invité politique de l'émission Politique Matin présentée par Patrick Chêne ce lundi 20 janvier 2014 pour débattre de l'actualité avec Chantal Jouanno, sénatrice UDI.

A cette occasion, je reviens sur les mesures annoncées dans le cadre du pacte de responsabilité par le président de la République lors de sa conférence de presse le 14 janvier dernier (à partir de 15 minutes), le Sénat et son rôle, notamment dans le cadre de la loi sur le non-cumul des mandats (à partir de 23 minutes) et sur le projet de loi pour l'égalité entre les femmes et les hommes examiné à l'Assemblée ce jour (à partir de 28 minutes).

 

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Bienvenue

Vous trouverez sur ce blog des infos sur mon travail parlementaire, des commentaires sur l'actualité politique et quelques détails sur mes actions menées dans le 18e.

Depuis 2008, je me consacre uniquement au travail parlementaire puisque je m’applique le principe du mandat unique.

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Mardi de 15h à 17h00

Sur RDV, vendredi matin

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Agenda - ma semaine

Cette semaine l’Assemblée se prononcera par scrutin public sur le projet de loi relatif à la santé et poursuivra les débats avec l’étude du projet de loi de finance rectificative pour 2015.

Quant à la commission des affaires européennes, elle auditionnera ce mardi 1er décembre à 17h, M. Dimitris Avramopoulos, commissaire européen chargé de la Migration, des affaires intérieures et de la citoyenneté, conjointe avec la commission des Affaires étrangères et la commission des Lois puis poursuivra son travail avec l’examen de propositions de résolution européenne sur le programme européen de sécurité présentée par Mme Marietta Karamanli et M. Charles de La Verpillière et examinera différents textes soumis à l’Assemblée nationale en application de l’article 88-4 de la Constitution.

Et la commission des finances auditionnera mercredi 2 décembre à 9h30, M. Didier MIGAUD, Premier président de la Cour des comptes, sur le rapport public thématique relatif au programme d’investissement d’avenir

Vendredi prochain, je serai dans le 18e à ma permanence et j’assisterai à l’inauguration des illuminations de noël lancées à l’initiative des commerçants de la place de Tertre (à 19h).

Connaissez-vous Francis Hollande ?

Mon clip de campagne, la CreschExperience a fait le buzz. Tous les grands médias en on parlé, le Monde, Libération, le Parisien, France Info, LCI, Dixhuitinfo.com, Skyrock, la chaine Parlementaire, Europe 1 (le lab), France Soir... Il a été visionné plus de 23000 fois sur You tube. Bref, un succès. Laissez vous guider vous-aussi par la CareschExpeirence....