Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
25 octobre 2013 5 25 /10 /octobre /2013 09:48
J'étais l'invité de Controverses (LCI soir) le mercredi 23 octobre 2013 avec Wallerand De Saint-Just (candidat FN à la mairie de Paris) pour débattre de la question du droit d'asile : quelle réforme ?

Partager cet article
Repost0
22 octobre 2013 2 22 /10 /octobre /2013 16:11

J'étais l'invité de l'émission politique de France Bleu 107.1 du mardi 22 octobre 2013. Je reponds à plusieurs questions d'actualité de Noé da Silva. Verbatim :

Léonarda, la polémique ne s’éteint pas : "peut-être parce que cette intervention (du chef de l'Etat, NDLR) a voulu trop ménager un certain nombre d'équilibres". 



Harlem Desir et Léonarda : 
"Le 1er secrétaire du Parti Socialiste a fait une déclaration un peu surprenante, il a corrigé les choses depuis hier". 
"Quand le Président de la République s'exprime, le 1er secrétaire du Parti Socialiste, sur un sujet comme celui là, par ailleurs, doit le soutenir, ça me parait évident (...) il doit partir, c'est une question qui se posera à un moment ou à un autre bien sûr". 


Jean-Vincent Placé (EELV) favorable au mouvement lycéen : 
"Je ne le comprends pas et je suis tout à fait désespéré de voir qu'un certain nombre de responsables politiques, en particulier à gauche, malheureusement, essaient d'instrumentaliser ce type de situations, dans quel but je n'en sais rien. C'est l'autorité de l’État qui est en cause.

La garantie universelle des loyers : 
"L'objectif de la garantie universelle des loyers c'est de supprimer les obstacles à la location". 
"Il ne faut pas que ce soit un système public, il faut que ce soit un système qui responsabilise les locataires et les propériétaires et pour cela il y a un secteur privé, un secteur "assurantiel" dans ce pays qui peut jouer ce rôle".



La métropole de Paris : 
"Ce n'est pas une nouvelle couche".
"Ce sont les maires qui vont se réunir et on va supprimer les intercommunalités (...) on va redistribuer le personnel". "L'idée de faire de la métropole une assemblée des maires me semble être une bonne idée qui doit permettre de lever un certains nombres de blocages et notamment de freins qui concerne le logement".  

 

Partager cet article
Repost0
30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 12:19

PHO3e09de06-279a-11e3-a9ef-d43c3a82c8a9-805x453-1.jpg

"Ce que j'attends du gouvernement dans cette affaire, qui a aussi une dimension européenne, c'est qu'il soit uni.... La polémique est injuste vis-à-vis de Manuel Valls. Elle est même inopportune. Les propos du ministère de l'intérieur ne mettent pas en cause le cadre Républicain."  

Retrouvez l'intégralité de l'interview que j'ai donnée au Figaro.

Partager cet article
Repost0
17 juillet 2013 3 17 /07 /juillet /2013 13:03

Retrouvez ma réaction relative au projet de loi instaurant la métrople de Paris pour France 3 Ile de France.


 

Partager cet article
Repost0
16 juillet 2013 2 16 /07 /juillet /2013 07:57

metronewsJe souhaite partager l'interview que j'ai donnée à Métronews au sujet du projet de loi prévoyant la création de métropoles qui doit être discuté à partir d'aujourd'hui, mardi 16 juillet, à l'Assemblée.

Par Vincent Michelon

GRAND PARIS - Les députés se penchent à partir de mardi sur le texte prévoyant la création d'une Métropole de Paris regroupant les 6 millions d'habitants de la capitale et des départements limitrophes et ayant compétence en matière de logement. Le Sénat avait rejeté une première version début juin. Christophe Caresche, député PS de Paris et "monsieur logement" de la candidate aux municipales Anne Hidalgo, défend une "révolution" décriée par certains élus locaux. Un nouveau texte proposant la création de la Métropole de Paris, regroupant la capitale et les départements de petite couronne, est débattu à l'Assemblée nationale à partir de mardi.

Craignez-vous un nouveau rejet par les parlementaires après celui du mois de juin au Sénat ?
  Je n'ai aucun doute sur le fait que le texte sera adopté. Au Sénat, une partie de la droite s'était opposée à la première version parce qu'elle ne lui paraissait pas assez ambitieuse. Les écologistes devraient voter cette nouvelle version. Les communistes, quant à eux, ne veulent de rien et restent sur un statu quo.

A quoi ressemblera cette Métropole de Paris, si le texte est adopté ?
 C'est une véritable révolution. On aura finalement mis cinquante ans à recréer le département de la Seine. Le texte prévoit la création d'une Métropole de Paris de 6 millions d'habitants rassemblant Paris, les départements limitrophes et quelques communes qui en auront fait la demande avant le 1er janvier 2015. Il prévoit aussi d'achever la carte des intercommunalités dans la zone agglomérée de la grande couronne. Les derniers amendements prévoient que la Métropole de Paris soit opérationnelle à partir du 1er janvier 2016, soit un an plus tard que prévu initialement. En termes de représentativité, ces amendements devraient également remettre Paris dans le droit commun pour éviter une censure au Conseil constitutionnel.

Certains maires du Val-de-Marne, des Hauts-de-Seine et de Seine-Saint-Denis combattent cette version qui retirerait aux maires leurs prérogatives sur le logement. Qu'en est-il ?
 Ce sont précisément les communes qui formeront la Métropole de Paris. Dans le premier texte rejeté par le Sénat, seuls les présidents d'intercommunalités étaient représentés au sein de la Métropole. Désormais, les maires seront directement représentés, mais leurs compétences en matière d'urbanisme remonteront au niveau de la Métropole.

En quoi cela sera-t-il bénéfique en matière de logement ?
 Sous la pression d'habitants réticents à l'arrivée de populations nouvelles, les maires ont adopté des comportements malthusiens. Les communes, riches ou pauvres, ne construisent plus. La Métropole permettra de mettre les plus réticents en situation de coopérer. En outre, elle permettra de redistribuer des moyens nouveaux pour installer des services et des équipements sur le territoire. Les maires pourraient en contrepartie recevoir davantage de prérogatives, par exemple en matière d'attribution de logements sociaux.

Certains élus de Seine-Saint-Denis estiment que Paris veut faire main basse sur la banlieue afin d'y loger les classes moyennes qu'elle ne peut plus garder. Cette vision est-elle vraie ? 
Paris veut continuer à faire un effort très important pour créer du logement à l'intérieur de la capitale. Mais il suffit de regarder une carte pour observer l'écart de densité entre Paris et la petite couronne. Il est clair que pour construire du logement, il faut au minimum associer Paris et la petite couronne. Certains de ces élus racontent une histoire qui n'est plus vraie, qui remonte aux années où Jacques Chirac (ex-maire de Paris, NDLR) envoyait ses pauvres en petite couronne. On en est plus là. Paris a évolué. Quand on voit l'effort de la capitale pour augmenter le nombre de logements sociaux et pour l'hébergement d'urgence, tout cela ne tient plus.

 La fusion des départements (Paris, Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne) est-elle au programme ?
 Ce n'est pas à l'ordre du jour mais on se dirige vers cela. On est en train de créer le squelette sur lequel va pouvoir se greffer soit une fusion des quatre départements au sein d'un nouvel organisme, soit un regroupement au sein de la Métropole de Paris, qui récupérerait dans ce cas les compétences des départements.

La question d'un "supermaire" élu au suffrage universel à la tête de la Métropole de Paris est-elle d'actualité ?
Pour le moment, il est important que les maires soient représentés dans la Métropole. Les élus municipaux siégeront dans les nouveaux "territoires" ou directement à la métropole. Il n'est pas question de multiplier les élus.

Partager cet article
Repost0
11 juillet 2013 4 11 /07 /juillet /2013 13:33

logo mondeJe souhaite partager l'interview que j'ai donnée à Le Monde.fr au sujet de la réforme des retraites le 11 juillet 2013. Bonne lecture.

Par Bastien Bonnefous et Jean-Baptiste Chastand

Christophe Caresche est député socialiste de Paris. Classé parmi les réformistes et les sociaux-démocrates du Parti socialiste, il critique vivement le texte adopté par le bureau national du parti mardi 9 juillet, qui fixe des limites à la future réforme des retraites. Un texte qu'il considère "mauvais" et  "sans ambition".

Comment jugez-vous le texte d'orientation sur les retraites adopté mardi 9 juillet par le Parti socialiste ?

 C'est un mauvais compromis entre la majorité du parti et l'aile gauche qui est sur-représentée au sein des instances. Il n'ouvre aucune perspective de modification systémique des retraites. Le système actuel est illisible pour les Français et profondément inégalitaire. J'attendais que mon parti ouvre ses perspectives, mais son projet ne propose que de s'attaquer au problème de financement immédiat des régimes de retraites. Il écarte toute mesure autre que l'augmentation des hausses de cotisations. L'effort serait donc porté exclusivement sur les actifs et sur lesentreprises, ce qui n'est pas raisonnable et qui est injuste. En faisant cela, on taxe le pouvoir d'achat des actifs et le travail. Ce n'est pas parce que le Medef le dit que c'est forcément faux.

Défendez-vous la désindexation des pensions que le PS rejette dans son texte ? Avec d'autres députés socialistes, nous allons faire des propositions dans les semaines prochaines. Dans le texte du PS, l'alignement de la fiscalité des retraités sur celle des actifs est à peine reprise. Cette piste devrait pourtant être mise en œuvre. Depuis des années, on fait reposer l'effort sur les jeunes actifs qui vont payer pour les générations du baby boom qui arrivent à la retraite et qui en plus ont une perspective de dégradation de leurs pensions. Il faut arrêter de ponctionner les actifs et aller au contraire vers l'alignement. Soyons courageux ! Augmenter les cotisations, ça se voit moins qu'augmenter les impôts, mais ce n'est ni acceptable ni courageux.

Estimez-vous que le gouvernement est engagé par les lignes rouges tracées par le PS ? Ce n'est pas ce qu'a dit la ministre des affaires sociales Marisol Touraine et ça me rassure. Ce que dit le Parti socialiste n'est pas l'alpha et l'oméga de la réforme. Il a gommé tout ce qui pouvait être ambitieux pour obtenir l'approbation de l'aile gauche et ses lignes rouges ferment énormément de portes. Mais le débat n'est pas terminé et le groupe parlementaire aura lui aussi son mot à dire à la rentrée lors de l'examen du projet de loi.

Quelles pourraient être les pistes d'une réforme ambitieuse à vos yeux ? Par exemple, il n'y a aucune raison à continuer de faire profiter les retraités d'avantages fiscaux alors que leur niveau de vie est supérieur à celui des actifs. Il faut oser poser la question intergénérationnelle dans la réforme des retraites et ne pas se contenter seulement de se tourner vers les entreprises. La compétitivité de nos entreprises continue à se dégrader. Les impacter encore un peu plus est une aberration.

Mais la crise actuelle et ses conséquences sociales permettent-elles de faire une réforme de cette ambition ? Nous avons été élus pour cinq ans. Si la réforme concerne uniquement la première année de la législature, alors on ne fera jamais rien dans ce pays. Il faut au contraire la faire dans la durée, comme la Suède qui a mis plusieurs années à aboutir à un résultat. On pourrait tout à fait avoir une réforme en deux temps. Un premier temps immédiat, en pesant le moins possible sur les cotisations, puis engager, dans un second temps, un processus de négociation pour essayer d'aboutir à une réforme systémique. C'est ce que propose la CFDT. Une réforme ambitieuse serait à l'honneur de la gauche.

Est-ce politiquement possible à moins d'un an des élections municipales ? Personne ne demande que l'on ait un résultat avant les municipales, mais simplement que l'on ouvre les discussions. Rester le nez bloqué sur les élections intermédiaires est une manière très réductrice d'aborder ces échéances. C'est ce que fait l'aile gauche du PS qui est dans une position très conservatrice et démissionnaire. La majorité du parti n'est pas suffisamment représentée ni dans le débat politique ni dans celui du parti. Elle est profondément unie autour de la ligne social-démocrate alors que son aile gauche, qui est reçue par le président de la République et par le premier ministre, fait la course à l'échalote avec Jean-Luc Mélenchon. Cette ambiguïté permanente affaiblit considérablement notre message politique. On a le réformisme honteux, alors que sur les retraites on pourrait faire la démonstration du contraire.

Partager cet article
Repost0
10 juin 2013 1 10 /06 /juin /2013 13:20

Interrogé par Patrick Chêne sur les sujets d'actualité, j'ai notamment pu exprimer mon point de vue sur le projet de réforme des retraites à venir.

(à partir de 15mn)

Partager cet article
Repost0
22 mai 2013 3 22 /05 /mai /2013 09:15
J'étais l'invité du plateau de l'emission LCP Actu pour débattre de la commission d'enquête parlementaire concernant l'affaire Cahuzac qui a commencé mardi 21 mai à l'Assemblée avec les auditions des journalistes de Mediapart ayant révélé l'affaire. Débat avec Sébastien Huyghe, député UMP du Nord (à partir de 36 minutes).
Partager cet article
Repost0
16 mai 2013 4 16 /05 /mai /2013 12:33

logo-huffington-post.jpgLe Huffington post - 16.04.2013

Retrouvez la tribune que j'ai signée avec mon collègue Richard Yung, sénateur des Français établis hors de France parue le 16 mai dernier sur Le Huffington post au sujet de la position du ministre des finances allemand, M Schäuble, concernant l'Union bancaire.

Le 13 décembre dernier, le Conseil européen a décidé de réaliser l'union bancaire en confiant la supervision de toutes les banques européennes à une autorité spécifique créée au sein de la Banque centrale européenne (BCE) et en harmonisant les systèmes nationaux de restructuration bancaire et de garantie des dépôts.

Ces propositions sont nécessaires pour assurer une surveillance efficace et indépendante de l'activité des banques, dont on a pu voir dans le passé qu'elles pouvaient avoir des pratiques spéculatives et dangereuses pour l'économie et les ménages. Il est également nécessaire de faire en sorte qu'en cas de difficultés, voire en cas de faillite d'une banque, ce soit d'abord les actionnaires, les créanciers et les dépôts non garantis qui soient appelés à combler les dettes. Le recours aux fonds publics ne doit venir qu'en dernier ressort. Tous les pays de la zone euro, et même au-delà, partagent cette conception et sont en train de se doter des législations nécessaires au niveau national. Il reste à parachever cet édifice au niveau de la zone euro.

 Nous pensions qu'il y avait un large consensus sur l'action à mener, à commencer avec l'Allemagne, toujours soucieuse de réglementation vertueuse. Les questions à trancher sont certes difficiles: indépendance, au sein de la BCE, de la mission de supervision bancaire par rapport à celle de politique monétaire; mode de fonctionnement du mécanisme de supervision et articulation avec les autorités nationales compétentes; conditions d'harmonisation des fonds de garantie; règles de renflouement interne ("bail-in"); égalité de traitement entre tous les États membres, qu'ils appartiennent ou pas à la zone euro; etc. Cependant, l'heure n'est plus aux tergiversations.

C'est pourquoi les récentes déclarations du ministre allemand des finances, Wolfgang Schäuble, demandant que les traités européens soient modifiés préalablement à la réalisation de l'union bancaire ont surpris et déçu. Elles ont surpris car elles contredisent l'engagement pris par Berlin en décembre dernier. Elles ont également déçu venant d'un pays toujours prompt à appeler à un fédéralisme plus achevé. Au demeurant, la demande formulée par nos amis d'Outre-Rhin n'a pas de sens car il est parfaitement possible de légiférer à traité constant. De plus, chacun sait qu'une renégociation des traités est plus difficile, voire impossible, puisqu'elle requiert l'unanimité des vingt-sept - et bientôt des vingt-huit. En tout état de cause, une telle initiative prendrait plusieurs années. Or, la crise chypriote a souligné l'urgence d'adopter cette réforme, qui conditionne la recapitalisation directe des banques par le Mécanisme européen de stabilité (MES). Elle est aussi l'une des conditions d'une reprise saine et stable de l'économie européenne.

C'est pourquoi nous appelons les chefs d'État et de gouvernement à faire preuve de courage politique en adoptant, d'ici à juin, le paquet législatif en cours de négociation et en soutenant les propositions que la Commission formulera prochainement en vue de la création d'une autorité et d'un fonds européens de restructuration bancaire. Du parachèvement de l'union bancaire avant les élections européennes de 2014 dépend la rupture du cercle vicieux entre la dette souveraine et la dette bancaire.

Partager cet article
Repost0
15 mai 2013 3 15 /05 /mai /2013 08:48

J'étais invité le mardi 14 mai dernier sur le plateau du Grand Soir 3 pour débattre des incidents survenus lors de la célébration de la victoire du PSG à Paris avec Jean François Lamour, Député UMP, ancien ministre des sports ; Nicolas Compte, secrétaire général de la police (FO) et Patrick Millon, sociologue du sport.

Retrouver le débat à partir de 25,11 mn.

Partager cet article
Repost0

Bienvenue

Vous trouverez sur ce blog des infos sur mon travail parlementaire, des commentaires sur l'actualité politique et quelques détails sur mes actions menées dans le 18e.

Depuis 2008, je me consacre uniquement au travail parlementaire puisque je m’applique le principe du mandat unique.

Recherche

Contactez-moi

Pour me contacter à l'Assemblée Nationale

ccaresche@assemblee-nationale.fr ou tel. 01.40.63.93.21

Pour me rencontrer dans le 18e

caresche@club-internet.fr

Permanence parlementaire :
76 bis rue Duhesme à Paris 18e.
Tel. 01 55 79 15 15 
Réception du public sans RDV :
Lundi de 9h30 à 12h30
Mardi de 15h à 17h00

Sur RDV, vendredi matin

perm-copie-1

Agenda - ma semaine

Cette semaine l’Assemblée se prononcera par scrutin public sur le projet de loi relatif à la santé et poursuivra les débats avec l’étude du projet de loi de finance rectificative pour 2015.

Quant à la commission des affaires européennes, elle auditionnera ce mardi 1er décembre à 17h, M. Dimitris Avramopoulos, commissaire européen chargé de la Migration, des affaires intérieures et de la citoyenneté, conjointe avec la commission des Affaires étrangères et la commission des Lois puis poursuivra son travail avec l’examen de propositions de résolution européenne sur le programme européen de sécurité présentée par Mme Marietta Karamanli et M. Charles de La Verpillière et examinera différents textes soumis à l’Assemblée nationale en application de l’article 88-4 de la Constitution.

Et la commission des finances auditionnera mercredi 2 décembre à 9h30, M. Didier MIGAUD, Premier président de la Cour des comptes, sur le rapport public thématique relatif au programme d’investissement d’avenir

Vendredi prochain, je serai dans le 18e à ma permanence et j’assisterai à l’inauguration des illuminations de noël lancées à l’initiative des commerçants de la place de Tertre (à 19h).

Connaissez-vous Francis Hollande ?

Mon clip de campagne, la CreschExperience a fait le buzz. Tous les grands médias en on parlé, le Monde, Libération, le Parisien, France Info, LCI, Dixhuitinfo.com, Skyrock, la chaine Parlementaire, Europe 1 (le lab), France Soir... Il a été visionné plus de 23000 fois sur You tube. Bref, un succès. Laissez vous guider vous-aussi par la CareschExpeirence....